Lancés en juillet, les États généraux de l’alimentation vont se poursuivre jusqu’en novembre avec la mise en place de 14 ateliers thématiques. Assortis d’une consultation publique, ils visent à relancer et à mieux partager la création de valeur, via des modèles durables générant des produits sains.

Face aux épisodes récurrents de sécheresse, les ministères de l’Agriculture et de la Transition écologique et solidaire ont acté le principe de créer de nouvelles retenues collinaires. Une décision qui s’inscrit dans le cadre du futur 2ème Plan national d’adaptation au changement climatique.

Les échanges de viandes de porc connaissent une croissance exceptionnelle depuis le début des années 2000. La France est restée à l’écart, pénalisée par un déficit de compétitivité par rapport à ses concurrents européens.

Environ un tiers des pulvérisateurs échappe au contrôle périodique obligatoire dont le coût est pourtant très relatif. Le ministère de l’Agriculture fait œuvre de pédagogie pour inciter les contrevenants à se mettre en règle.

Face au risque de captation des données à tous les stades, les instituts techniques agricoles défendent un modèle où les agriculteurs resteraient le cœur des systèmes d’information.

La baisse des revenus agricoles impacte l’évolution du prix des terres. La part des formes sociétaires dans l’acquisition des terres ne cesse de croître. Quant à l’artificialisation, elle repart à la hausse.

Les Marchés d’intérêt national (Min) réservent une place toujours plus importante aux producteurs, répondant à la demande de produits locaux – et souvent bio – des clients des marchés de gros que sont les restaurateurs, les épiciers, les commerçants du marché de plein vent et les commerçants des halles.

La bioéconomie repose sur la valorisation de la biomasse sous toutes ses formes au service de nombreux usages. Durable, renouvelable, sobre et diversifiée, la bioéconomie est porteuse d’externalités positives pour l’Homme et son environnement.

Les lunettes connectées font leur apparition en agriculture. Mais elles restent encore l’apanage des chercheurs et techniciens.

Les veaux nés à partir du 1er janvier 2018 devront être équipés d’une boucle électronique. Le surcoût est estimé à 0,75 € par animal avec à la clé des avantages en termes de gestion de troupeau.