La caractérisation des sols est un préalable indispensable pour optimiser l’usage des intrants et valoriser toutes leurs potentialités agronomiques. Un chantier à peine entamé, contraint par les coûts, mais qui ouvre des perspectives.

Le renforcement des mesures de biosécurité alliées à de nouvelles règles en matière de transport et de dépistage doivent permettre de déjouer la fatalité, la lutte contre la grippe aviaire n’offrant pas d’alternative thérapeutique.

Selon une étude publiée dans Nature Communications, nourrir 9 milliards d’êtres humains en 2050 à partir de produits bio est possible à condition de réduire le gaspillage et d’inverser la proportion de protéines animales et végétales dans l’alimentation.

L’offre de stations météorologiques connectées se démocratise. Elles permettent de mieux planifier les travaux, notamment la pulvérisation, en lien avec des modèles de prévision d’attaques de maladies et de ravageurs.

Contrats de filière, montée en gamme, relèvement du seuil de revente à perte, prise en compte des coûts de production dans les négociations avec la distribution : certaines de ces annonces seront consignées dans un texte de loi sinon des ordonnances au cours du premier semestre 2018.

Compétitivité et volatilité : tels sont les deux défis majeurs à relever pour les planteurs et les industriels. La filière française s’y emploie, avec le soutien de l’Union européenne.

L’alimentation des animaux constitue la principale charge d’exploitation des élevages. Gagner en autonomie améliore les résultats technico-économiques. L’Institut de l’élevage a conçu un outil internet dédié.

La filière lait se projette dans l’avenir grâce à une étude de FranceAgrimer. Quatre scénarios décrivent des futurs possibles plus ou moins favorables.

Tendance, l’agriculture bio séduit toujours plus de consommateurs et en amont d’agriculteurs, soucieux de répondre à la demande et de capter de la valeur ajoutée. Mais la transparence fait défaut quant aux marges appliquées par les distributeurs.

Les effectifs de loups ne cessent de grossir et les territoires conquis de s’étendre, menaçant le pastoralisme. Les mesures de protection ne sont pas jugées efficaces. Les éleveurs réclament la levée du statut d’espèce protégée.