La connectivité tous azimuts, l’intelligence artificielle et la robotisation s’insinuent dans le quotidien des exploitations, au service de la durabilité et de la traçabilité, mais surtout au service des exploitants.

Le volume total d'emploi mobilisé par les exploitations a baissé de 10,8 % au cours de la décennie écoulée, pour s’établir à 659 500 équivalents temps plein. Le volume de travail des salariés permanents non familiaux a augmenté de 8,2 %, l’externalisation auprès des Entreprises de travaux agricoles (ETA) de 39,2 %.

Le projet de loi sur l’accélération de la production d’énergies renouvelables présente un certain nombre de garde-fous, s’ajoutant à ceux instaurés par les opérateurs, afin d’allier production agricole et production d’électricité.

Dicté par des aléas climatiques plus intenses et plus fréquents, le nouveau dispositif de gestion des risques se veut universel et accessible au plus grand nombre. Par ailleurs, la dernière loi de finances inclut de nouvelles mesures fiscales et sociales.

La certification Haute valeur environnementale (HVE), aux exigences rehaussées, permet de percevoir le niveau supérieur de l’écorégime institué par la nouvelle Politique agricole commune (Pac).

Cinquante ans après leur création, les Services de remplacement sont sollicités chaque année par environ un exploitant agricole sur sept.

Le SIMA, Salon international des solutions et technologies pour une agriculture performante et durable, qui fêtait cette année son centenaire, a été l’occasion de mettre en exergue le rôle des machines dans la mise en œuvre de nouvelles pratiques agricoles, à même de relever les défis environnementaux et climatiques, sans oublier les prérogatives économiques et sociales.

En dehors du colza et de l’orge d’hiver, toutes les productions des grandes cultures sont orientées à la baisse, comparativement à 2021. La production de maïs grain est la plus faible depuis 1990, selon la statistique agricole Agreste.

Sous réserve de progresser dans son organisation collective et d’être accompagnée par les pouvoirs publics et les organisations professionnelles, l'héliciculture française est en capacité de se développer et d'ouvrir des opportunités de diversification pour d'autres éleveurs, selon un rapport du ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire.

À compter du 1er janvier 2023, le régime des calamités agricoles s’efface au profit d’un système assurantiel pour tous, au sein duquel l’État assumera les conséquences des sinistres exceptionnels. Un système qui incite fortement les producteurs à s’assurer.